Les accessoires // La credential sur Compostelle

Encore un article sur le sac et son contenu ? Et un texte uniquement sur les accessoires ?

Et oui, c’est tout l’intérêt d’un blog, faire des articles où l’on donne toutes ces petites infos, conseils et retour d’expérience.

Pour moi, les accessoires sont importants et s’il y a bien un poste sur lequel je n’ai pas renvoyé tant de choses que cela, ce sont les accessoires.

J’ai dispatché les accessoires dans des petites pochettes en plastique pour les protéger des intempéries ; c’est donc le premier accessoire à noter :

  • Des pochettes en plastique,
  • Une batterie de secours,
  • Un câble de recharge pour le téléphone,
  • Le téléphone portable,
  • Des écouteurs,
  • Un carnet,
  • Un stylo et un crayon de papier,
  • Un livre (je n’ai pas eu beaucoup de temps pour lire je l’avoue),
  • Le guide du miam miam dodo (la bible du pèlerin),
  • Une paire de lunettes de soleil et son étui,
  • La carte bleue, 2 chèques, la carte d’identité, la carte de sécurité sociale, la carte assurance maladie européenne et un peu de liquide,
  • Un couteau/fourchette,
  • Une couverture de survie,
  • Des épingles à nourrices et du fil (noir et blanc) et des aiguilles,
  • Quatre pinces à linge (que je renverrai en Espagne car il fait mauvais temps et ça ne sèche plus sur le sac),
  • Un briquet,
  • Une bombe au poivre,
  • Mes petits grigri (la coquille de Simon et un pins de Tancrède),
  • La crédentiale.

Il m’a manqué :

  • Des sacs de protection qui se ferment hermétiquement et qui sont étanches.

Si on reste totalement objectif ; j’ai tout utilisé (sauf la couverture de survie et la bombe au poivre) et rien renvoyé (hormis les pinces à linge, mais elles m’ont beaucoup servi au début du périple). C’est donc un poste important, car ça pèse un peu de poids tout cela, mais c’est nécessaire pour voyager confortablement. De mon point de vue bien évidemment…

Au fait, qu’est-ce qu’une crédentiale ?

La crédentiale, c’est un peu le passeport des pèlerins. Ça permet de savoir où tu es passé, où tu as dormi, où tu as mangé… Bref c’est un petit souvenir en lui-même. À chaque arrêt sur le chemin de St Jacques de Compostelle, tu peux demander à la mairie, à l’église, au bar, à la boulangerie et/ou au restaurant un tampon de l’établissement que tu apposes sur ta crédentiale.

Au début, j’avoue m’être restreinte à un tampon par jour (souvent celui de l’hébergement du soir) ; histoire de suivre mon périple « simplement ». Puis je me suis rendu compte que je manquais le tampon d’une église ou d’un endroit sympa donc j’ai pris le pli et j’en ai fait plusieurs par jour… À la fin, j’en demandais un par endroit où je m’arrêtais, c’est comme une carte ; tu peux suivre ton trajet grâce aux tampons… C’est plutôt pratique et c’est joli… D’autant plus que tu peux avoir plusieurs crédentiales donc pourquoi se limiter ?

Alors, où se l’a procurer cette fameuse credential ?

J’ai acheté ma première credential sur internet, sur un site de l’association des chemins vers Compostelle. Mais on peut l’acheter directement à la cathédrale du Puy-en-Velay. Puis j’ai acheté la seconde à la Cathédrale de Cahors. Puis la troisième à l’office de tourisme d’Aire-sur-l’adoure. Et la quatrième dans un bar en Espagne. Bref, en France, c’est relativement simple si l’on empreinte un chemin aussi fréquenté que celui du Puy-en-Velay / St-Jean-Pied-de-Port. Et on peut en trouver partout en Espagne. À noter, la credential est nécessaire pour dormir dans des hébergements pour pèlerins en Espagne.

La première face de mes quatre crédentiales
La seconde face de mes quarte crédentiales

Comment se préparer ? Que mettre dans son sac pour marcher sur Compostelle ?

Un projet naît dans le cœur et dans la tête… Mais il faut ensuite le matérialiser… Et la question essentielle est : que faut-il emmener pour attaquer une randonnée de plusieurs milliers de kilomètres ?

Pourquoi commencer par un article sur le sac et son contenu ? Probablement, car c’est la seule chose que je me suis un peu appliqué à faire. La baroudeuse que je suis n’a jamais marché plus de 2 jours ; il me faut donc un peu me renseigner sur le contenu d’un sac de marche pour quelques milliers de kilomètres… Le sac « parfait » n’existe pas, mais il peut vous convenir au plus près des besoins d’un marcheur au long court.

Suite à toutes mes recherches sur Internet, il m’a fallu faire un choix sur le contenu de mon sac ; certains font vraiment au plus léger quitte à couper le manche de leur brosse à dents… Pour ma part ça sera le strict minimum, certes mais sans pour autant faire au plus léger. Il est conseillé pour une femme de partir avec un sac entre 6 et 8kg, je vais donc m’appliquer à partir avec un sac de 8kg maximum, tout en me sentant à l’aise avec ce que j’emmène. La peur de manquer est le pire ennemie dans ce genre de projet…

Je n’ai que peu de conseils, car nous sommes tous différents ; mais les vraies économies sont de partir avec du bon matériel, dès le début. Car une cape de pluie achetée « pas chère » et qui ne nous protège pas est plus encombrante qu’autre chose ; une culotte qui vous blesse, des chaussures inadaptées, sont autant de dépenses inutiles puisqu’il faudra remplacer ce matériel tout au long de votre périple.

J’en suis la preuve vivante. Je vous présente donc mon sac et son contenu au départ et à l’arrivée. Petit challenge : trouver les objets qui ont passé les 71 jours de marche dans mon sac… Il y en a peu, je vous préviens tout de suite 😉

Le contenu de mon sac au départ

J’ai débuté l’aventure avec :

  • Un sac de 35 litres et sa protection (que je donnerai à St-Jean-Pied-de-Port car sa contenance est vraiment trop petite),
  • Une cape de pluie (que j’ai changé à Cahors après la première grosse pluie),
  • Un camel bag de 1L,
  • Un maillot de bain (que je enverrai à Saint-Jean-Pied-de-Port sans jamais l’avoir utilisé – mais c’est la période de l’année qui veut cela),
  • 2 culottes sans coutures et une normale / dont une sur moi (je renverrai rapidement la normale),
  • 2 brassières de sport / dont une sur moi (j’en changerai une en court de route),
  • 3 paires de chaussettes de sport / dont une sur moi (je les renverrai en cours de route),
  • Une paire de tong (que je renverrai à Leon),
  • 3 t-shirts de marche / dont un sur moi,
  • Un short de marche (que je renverrai rapidement),
  • 2 pantalons de marche / dont un sur moi (j’en renverrai un à Léon pour le remplacer par un pantalon plus épais contre la pluie),
  • Un sous pull à manches longues et un short ( = pyjama),
  • Un tour de cou fin,
  • 2 sweat shirts,
  • Un manteau,
  • Une serviette micro-fibre,
  • Une paire de sous gants (que je renverrai à Leon),
  • Un bonnet,
  • Un sac à viande (que j’enverrai de Leon et remplacerai par un sac de couchage reçu à St-Jean-Pied-de-Port),
  • Une paire de chaussures de trail / sur moi (que je changerai à Leon),
  • Les accessoires (article dédié aux accessoires),
  • La trousse de toilette (article dédié à la trousse de toilette).

Mon sac était de 6,5kg sans l’eau et la nourriture (il faut bien rajouter 1,5kg voir 2kg). Donc disons 8-9kg au plus lourd.

Mon sac du départ : compact, petit et plutôt léger, mais vraiment trop limite en capacité et rangements.
Mon second sac : bien plus pratique, une capacité me permettant de mettre tout ce dont j’avais besoin dedans et beaucoup moins mal à la clavicule avec.

J’ai terminé l’aventure avec :

  • Un sac de 38 litres et sa protection,
  • Une bonne cape de pluie (longue et qui s’ouvre sur le devant),
  • Un camel bag de 1L,
  • 3 culottes sans coutures,
  • 2 brassières de sport,
  • 5 paires de chaussettes : 2 paires des chaussettes basses et 2 paires de chaussettes hautes de rando + une paire un peu chaude,
  • Une paire de Crocs (c’est moche, mais ça permet de pouvoir porter des chaussettes dedans lorsqu’il fait froid),
  • 3 t-shirts de marche,
  • Un sous pull à manche longues en laine de Mérinos,
  • 2 pantalons de marche dont un contre la pluie,
  • Un sous pull à manches longues et un short ( = pyjama),
  • 2 tours de cou : un fin et un plus épais,
  • 2 sweat shirts,
  • Un manteau,
  • Une veste sans manches,
  • Une serviette micro-fibre,
  • Une paire de gants et protection contre la pluie,
  • Un bonnet,
  • Un sac de couchage,
  • Une paire de guêtres de protection de pluie,
  • Une nouvelle paire de chaussures de marche,
  • Les accessoires (article dédié aux accessoires),
  • La trousse de toilette (article dédié à la trousse de toilette).

Mon sac pesait alors 8-10kg au maximum. À la fin, je ne transportais plus beaucoup de nourriture ni d’eau.

Le contenu de mon sac au retour. Il y a peu de vêtements qui auront fait l’intégralité du voyage…

Ce n’est qu’une liste exhaustive du matériel qui m’a accompagné et qui m’a été utile tout au long de ce cheminement. Dans cette liste, je vous laisse découvrir ce qui m’a été utile ou non. Car oui, beaucoup de choses sont superflues dans une telle aventure…

Bien évidemment, il vous est possible d’acheter du matériel en route, de renvoyer le surplus ou de donner les objets qui ne vous sont d’aucune utilité.

Bref, tout évolue, votre sac comme vous-même, n’ayez donc pas peur de vous lancer. Mais essayez de partir le plus léger possible. Ça vous permettra de faire des économies de Poste et de vous rendre compte de ce qui est vraiment important… C’est déjà le début de l’aventure de faire son sac. Et qu’est-ce que c’est chouette.

Bilan de la deuxième semaine

350 km parcourus, quelques ampoules de plus, un rythme de marche plus soutenu, arrivée à Cahors, une envie grandissante de continuer.

Notre petit groupe établit naturellement son rythme. Jean et José partent plus tôt le matin. Toni, Jérôme et moi-même prenons un peu plus notre temps, mais nous arrivons plus tôt le soir.

Quant à moi, je commence à prendre mon rythme et c’est plutôt cool. Je marche assez rapidement (c’est mon rythme naturel apparemment), j’aime être seule le matin. Et nous discutons beaucoup lors de nos après-midi de marche.

Les journées se déroulent, en règle générale, de la façon suivante :

  • 6h30 : Réveil, petit déjeuner et fermeture du sac
  • 7h30-7h45 : Départ
  • 10h : Courte pause café (j’y laisse régulièrement les garçons pour marcher seule jusqu’à la pause du midi)
  • 12h-12h30 : Pique-nique rapidou
  • 16h30-17h : Arrivée
  • 17h30 : Visite de la ville et courses
  • 18h30 : Douche
  • 19h-19h30 : Cuisine et repas
  • 22h-22h30 : Dodo.

Que c’est étonnant de retrouver une routine, alors que je cherchais à quitter celle de la « vraie vie ». Mais c’est quelque chose de simple, très en lien avec mon activité physique ; et surtout avec mes besoins primaires. Je reconnecte très clairement avec mes besoins fondamentaux qui sont : où dormir, où manger, quoi manger, quel temps va-t-il faire et combien de temps marcher. Rien de plus et ça remplit mes journées.

La motivation est toujours aussi présente, mais les petits bobos me font parfois douter (les ampoules sont très handicapantes et la douleur au genou se réveille de temps en temps). Par chance, la compagnie de la « colo » me donne la force de continuer même si physiquement j’ai de gros doutes par moment. Ce sont mes héros du quotidien, ils me motivent, s’occupent de tout et gèrent les étapes quand je sens que je fatigue clairement.

Après un petit couac à Figeac où nous ne trouvons pas d’hébergements dans le village où nous voulions aller ; nous nous organisons un peu plus jusqu’à Cahors. La réservation des gîtes devient inévitable.

Les jours se suivent, je continue à en prendre plein la vue avec des paysages à couper le souffle et des villes magnifiques (Conques, Figeac, Cahors…).

La « colo » perd son premier coéquipier de route : José. À Figeac, il prend la voie de Rocamadour alors que nous (Jean, Toni, Jérôme et moi-même) continuons vers Cahors. À Cahors, c’est au tour de Jean de continuer son chemin. Puis à Jérôme de nous quitter. La « colo » se disperse, mais nous resterons liés par cette jolie expérience qui nous a été donnée de vivre.

Avec tout cela, il est vrai que je n’ai pas pris beaucoup de temps pour réfléchir et pour mettre les choses à plat. Nos discussions nous aident les uns les autres, mais l’heure n’est pas encore arrivée pour se retrouver seule et poser les choses dans ma tête…

Mais ça viendra, j’en suis certaine. Il ne sert à rien de vouloir brûler les étapes. Profitons de ces moments partager et voyons ce que l’avenir nous réserve / me réserve. En attendant, je profite de cette merveilleuse ville de Cahors et des retrouvailles avec ma super copine, des beaux-arts, Aurélia.

Je fais, ici, un petit point pratique sur la nourriture.

Tout au long du chemin (dans la journée) vous trouverez de quoi manger. Le GR65 permet de traverser bon nombre de villages. Vous y trouverez bars et restaurants ; parfaits pour les pauses-café ou les repas au sec. Il y a aussi des supermarchés (ou épiceries) permettant de s’équiper pour un pique-nique au soleil.

Le soir, les hébergements proposent régulièrement la demi-pension (dîner et petit déjeuner). Les gîtes communaux sont, quant à eux, équipés de cuisine permettant de se restaurer à moindre coup. Si vous résidez dans des villages de taille moyenne, de nombreux restaurants se feront un plaisir de vous accueillir.

Attention tout de même à s’organiser pour arriver aux horaires d’ouvertures, surtout à la veille des week-ends. Faire attention aux dimanches et lundis. Je vous conseille de faire quelques courses à l’avance pour contre-carré le mauvais sort de ces deux jours maudits par les marcheurs.

Les dodos :

  • Le 23.09 – Conques / Gîte d’étape communal (12€).
  • Le 24.09 – Montredon / Halte pèlerin le St Michel (12€) – Endroit très sympa, avec possibilité de nourriture en donativo.
  • Le 25.09 – Figeac / appartement Chez Isabelle Cassage (20€) – Se renseigner auprès de l’office de tourisme mais appartement qui est très bien équipé et superbement situé.
  • Le 26.09 – Cajarc / Gîte d’étape communal (13€).
  • Le 27.08 – Bach / Gîte d’étape La grange St Jacques (35€ en Demi Pension) – Repas délicieux, endroit refait à neuf et hôtes très accueillants.
  • Le 28.09 – Cahors / Gîte d’étape le papillon vert (18€).
  • Le 29.09 – Cahors / Gîte d’étape le papillon vert (18€).

À la semaine prochaine !

Bilan de la première semaine

177 km parcourus, quelques courbatures, déjà quelques ampoules, la découverte de l’Aubrac et la rencontre de belles personnes.

Le Puy-en-Velay, ce 17 septembre 2019, 8h du matin, j’y suis !

J’ai la tête vide après une première nuit mouvementée et un réveil à 6h du matin. Mais je suis ravie de participer à cette institution qu’est la messe des pèlerins. Sans oublier la découverte du chemin en sortant de la cathédrale, au petit jour…

Mon guide sous le bras et mon sac sur le dos, j’attaque mes premiers pas de pèlerine. Compliqué de rentrer dans le « personnage » ; d’accepter ce statut. Mais je vais m’y attacher, j’en suis certaine.

Une question me trotte tout de même dans la tête : à quoi est-ce que je m’attaque ??? N’ayant jamais fait plus de 2 jours de randonnée, je ne sais pas jusqu’où mes jambes me porteront… Mais l’envie est présente, alors tentons l’aventure !

C’est le coeur léger que j’attaque ce nouveau projet. Je me sens à l’aise de partir à l’aventure de la sorte : seule et pleine d’espoirs.

Cette première semaine sera rythmée par de nombreuses rencontres, plus ou moins longues, mais toujours agréables. J’ai d’ailleurs la chance, au gré des kilomètres, de rencontrer 4 merveilleuses personnes. Je ne sais pas jusqu’où nous irons tous les 5, mais c’est chouette d’avoir fait ces rencontres, ça nous porte.

De gauche à droite : Toni, moi, Jérome, Jean et José lors d’un repas « fait maison » à Estaing.

Je prends doucement un rythme de marche qui me convient. Je me rends compte qu’il me faut faire entre 30 et 35 km par jour pour marcher une journée entière.

Les 2 premiers jours, j’ai fait les étapes indiquées par le guide (25 et 20 km) mais j’arrivai à 14h ; que faire ensuite ?

J’ai donc pris le pli de marcher plus et d’arriver sur les coups de 16-17h. Ce qui est bien plus confortable de mon point de vue. Et c’est toujours motivant de voir les kilomètres défiler.

C’est accompagnée de quelques douleurs (ampoules, douleurs aux genoux) que je découvre de magnifiques paysages. Toujours souriante, je me régale d’un patrimoine architectural jusqu’alors inconnu et d’une région extraordinaire (l’Aubrac).

Petit point météo… Ça compte sérieusement lorsque l’on passe sa journée dehors à marcher. Par moment brumeux, voir pluvieux ; le temps est très agréable. La journée, il fait doux (voir chaud), mais nous sommes tout de même mi-septembre, donc les matins et soirs sont un peu plus frais… Mais très clairement, c’est plus qu’acceptable pour la saison. Quelle belle aventure.

La question cruciale des hébergements. J’ai pris l’habitude de réserver la veille pour le lendemain mon hébergement. À cette période de l’année ça ne pose aucun problème. Il m’est même arrivé de réserver le midi pour le soir. Mais je ne vous cache pas que ça m’a posé quelques problèmes de temps à autre…

À chaque bilan, je me propose de vous donner la liste de mes hébergements et de vous indiquer ceux qui valent le coup (ou non).

Les dodos :

  • Le 16.09 – Le Puy-en-Velay / Les Amis de St Jacques (donativo) – Au top pour un premier dodo de pèlerine, mais c’est très grand et donc bruyant…
  • Le 17.09 – St-Privat-d’Allier / Gîte d’étape le Kompost’L (20€ avec petit déjeuner).
  • Le 18.09 – Saugues – Gîte d’étape communal (15€).
  • Le 19.09 – St-Alban-sur-Limagnole / Gîte aux amis dans le chemin (donativo) – Accueil génial, Françoise est très agréable et on s’y sent bien.
  • Le 20.09 – Finieyrols / Gîte d’étape Les gentianes (38€ en DP) – Installations pas des plus récentes, mais bon accueil et repas au top.
  • Le 21.09 – St-Chely-d’Aubrac / Gîte d’étape communal Chez Fanny et Jeremy (15,10€) – Refait à neuf, accueil très sympa, bel endroit.
  • Le 22.09 – Estaing / Gîte d’étape communal (15€) – Dans une ancienne église, installations récentes c’est top.

À la semaine prochaine !